GABON. Le mandat du président passe de 7 à 5 ans et sans limite selon la nouvelle constitution
Réunis en congrès, les députés et sénateurs ont adopté à une grande majorité la nouvelle Constitution révisée. Cette révision est intervenue à la suite de la tenue, en février dernier, d’une concertation politique entre la majorité et l’opposition. Les nouvelles dispositions de la Constitution seront appliquées lors des élections générales: présidentielle, législatives et locales, prévues avant fin 2023.
Les occupants illégaux des alentours des casernes de Mont Barnier, Mont Mbamou et Ndouojouent à la résistance
Sommés de libérer les emprises foncières des casernes de Mont Barnier, Mont Mambou et Ndouo, certains occupants illégaux font de la résistance. La mise en demeure préalable au déguerpissement de 45 jours pour quitter les lieux qui leur avait été notifiée le 21 février est arrivée à terme le 6 avril dernier. Pour cela, une réunion technique d’évaluation de cette décision a réuni le 4 avril le ministre d’Etat, ministre des Affaires foncières et du domaine public, chargé des relations avec le Parlement, Pierre Mabiala, et
FRANCE. Le Conseil Constitutionnel valide la reforme de la retraite
Le Conseil constitutionnel a validé, vendredi 14 avril, l'essentiel de la réforme des retraites, dont le report de l'âge de départ à 64 ans, mais retoqué six dispositions du texte, par lesquelles l'index senior. Dans une autre décision, les Sages ont rejeté la première demande de référendum d'initiative partagée déposée par la gauche. Dans la foulée de ces décisions, des rassemblements ont lieu dans plusieurs villes de France, notamment à Paris, où 112 personnes ont été interpellées, selon la préfecture de police,
"Traité des Constitutions et institutions politiques Tome 1" de Wilfrid Mbilampindo
Paru le 1er février et préfacé par le maître de conférences Patrice Ndiaye, l'ouvrage est une approche à la fois analytique, critique et herméneutique des Constitutions et institutions du Congo.
Des magistrats lourdements sanctionnés par le Conseil Supérieur de la Magistrature
Des sanctions allant de la révocation à la rétrogradation, au retrait de certaines fonctions et à la réprimande ont été prononcées à l’encontre d’une vingtaine de magistrats à l’issue du Conseil supérieur de la magistrature réuni le 27 mars à Brazzaville, sous l’autorité du président de la République, chef de l’Etat, Denis sassou N'Guesso.